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Vous avez loupé notre passage au PGW ?
Le 11-11-2013 à 16:00 par drakyng [voir la version imprimable]
Le Paris Games Week nous ouvre ses portes ! Il est grand temps que nos trois envoyés spéciaux vous content leurs péripéties tumultueuses rencontrées lors de l'excursion au salon. Medoc, Thieft et moi-même (Drakyng) allons dévoiler chacun à notre tour notre version du PGW. Nous avons pénétré les couloirs de ce salon tant attendu le samedi 02 novembre.
J'attendais avec grande impatience ce salon, je voulais absolument prendre en main les nouvelles consoles, avoir un vrai aperçu de cette nouvelle génération tant attendue sur le point d'émerger. Je parle bien évidemment de la PlayStation 4 et de la Xbox One. Nous sommes donc arrivés à bon port en début de matinée et avons très vite fait un premier tour du salon, histoire de repérer les stands et de préparer notre plan d'attaque. Dans ce genre d'événements, le pass presse peut se comparer à un anneau protecteur : une précieuse relique qui vous fait gagner un temps fou et fait jalouser tous vos voisins ! (:D). Le premier jeu testé a été Knack, un petit jeu de plateforme qui n'est pas sans rappeller un certain Kameo au lancement de la Xbox 360. Le titre se veut coloré et très plaisant à jouer et nous rappelle l'âge d'or de ce genre de jeu, une nostalgie s'installe. Knack sera donc à surveiller de très près à son lancement, ce dernier peut révéler bien des surprises. J'ai mis vingt minutes plus tard, la main sur War Thunder, un jeu de combat aérien où le multijoueur est de mise. Malheureusement, sans didacticiel à portée, le titre est bien trop complexe dans ses commandes. Juste à côté de ce stand, j'entendais des coups de feu à foison ! Pas de doute, Shadow Falls est là ! Premier coup de coeur du salon ! Le jeu offre un univers ouvert bourré d'éléments destructibles. Il est alors possible de développer sa propre stratégie pour annihiler l'ennemi. Les graphismes sont somptueux et les décors futuristes à tomber par terre. Je suis d'ailleurs tombé mais je me suis très vite relevé, attiré par des coups de canon... Assassin's Creed IV nous attendait ! Ici, une mission était jouable, il fallait prendre un fort à coup de canon, puis une fois les murs percés, attaquer à pied les soldats ennemis. Deuxième claque du salon ! Des graphismes impressionnants avec un océan bourré de détails et d'ondulations réalistes. Maintenant, direction le stand de Ryse. Le titre se veut facile à prendre en main, très intuitif. Les combats sont nerveux et demandent une dextérité haut placée pour venir à bout des sanglants gladiateurs ! Pas de vrai test pour Dead Rising 3 et Watch Dogs, un joueur suivi d'un commentateur nous expliquait les caractéristiques des titres avec humour et bonne humeur. Pas de réelle surprise pour Dead Rising 3, on nous sert la même recette en plus beau et avec plus de fun ! Watch_Dogs, par contre, me fait littéralement saliver. Je pleure encore de son report ... Une chose est certaine, le PGW est fatigant ! A force de marcher, d'attendre, de jouer avec cette chaleur digne des plus grand cirques de fauves, nos batteries s'amenuisent vite ! J'ai également acheté un T-shirt Metal Gears Solid ! Vous vous en foutez mais je le dis quand même ! :D Un PGW satisfaisant : mes attentes ont été comblées, une excellente ambiance dans le salon.
Mon épopée au Paris Games Week commença le jeudi 31 octobre, journée mondiale des bonbons et du cosplay gothique. Après une préparation de dernière minute j'ai réussi à prendre mon train, direction Paris. Une fois à la gare de l'Est j'ai attendu une éternité que ma cousine vienne me récupérer. Je la remercie, car sans elle mon week-end aurait été moins excitant. Vendredi, j'ai donc fait mes premiers pas dans le salon en entrant par l'accès réservé aux VIP et à la presse. J'étais plutôt content de ne pas faire la queue pour entrer. Le premier hall était celui des enfants, il n'y avait que peu de monde et cela n'était pas la partie submergée de l'iceberg. C'est en arrivant dans le hall le plus intéressant que je vois l'ampleur de salon. Il était seulement 10h, mais la foule commençait à s'agglutiner sur les diverses bornes. Bon, à mon tour de m'essayer aux démos, alors je me suis mêlé à la file pour Bayonetta 2. Dix minutes d'attente et enfin je pose mes paluches sur le Gamepad afin de manipuler la dynamique sorcière. Le jeu ressemble comme deux gouttes d'eau à l'opus précédent. Les mises en scène sont toujours aussi clichées et spectaculaires, mais que diable, il reste tout autant jouissif. La maniabilité au Gamepad est excellente. Le passage à la Wii U n'enlève rien à la qualité de cette jeune licence. Ensuite je me suis dirigé naturellement sur The Legend of Zelda : A Link Between Worlds. Il n'y avait qu'une seule personne devant moi, mais j'ai attendu dix minutes aussi. Le jeune homme avait du mal à faire le donjon proposé. Est-il si dur ? Non, mais le nouveau pouvoir de Link, la papérisation donne une nouvelle perspective aux énigmes rendant la progression intéressante. Je n'ai pas vu les trailers récents, mais j'espère que les donjons ne se résument pas à grimper d'étage à étage par des tremplins et autres ascenseurs. Le monde extérieur est beau et découpé en carrés comme sur les vieux Zelda portables. La 3D donne l'impression que nous sommes Dieu regardant le royaume d'Hyrule depuis les cieux. En restant dans le bloc Nintendo, la princesse Zelda, Ganondorf et Link se donnaient à une séance photo, l'occasion pour moi de me glisser entre ces trois personnages pour immortaliser se moment. Ceci étant fait je suis allé voir ce bon singe à la cravate rouge. Idem l'attente de fut pas longue, d'autant plus que les deux fillettes ont abandonné leur partie. La démo de Donkey Country : Tropical Freeze se jouant à deux, j'ai fait équipe avec un gamin de 10 ans. Le jeu est très joli, bien plus que l'opus Wii et heureusement, toujours aussi agréable à jouer. La démonstration ne montrait rien de vraiment nouveau, même pas un petit combat contre un boss. Mon coéquipier de fortune jouait plutôt bien, la partie fut courte, mais sympathique. En essayant de trouver un coin pour manger je passais devant les bornes de Super Mario 3D World. Je me suis donc posé une problématique, manger ou jouer ? Mon estomac ne s'est pas tellement prononcé et les démos étaient rapidement accessibles, j'ai donc décidé de voir ce petit plombier. Effectivement j'ai attendu longtemps, car la démo était prévue pour quatre personnes. Il y avait un couple devant moi et des binômes derrière. L'animatrice s'est jointe à nous. Une partie fortement agréable, le jeu est beau et la partie bien courte. Ce qui ets le plus cruel, c'est que nous avons le choix entre six niveaux et tous n'offrent pas la fameuse tenue de chat, principal intérêt de la partie. C'est alors que nous déposions nos manettes que nous sommes interpellés par une femme et une grosse caméra. C'était France 2 venu faire leur reportage sur le salon. Donc on a eu la chance de faire une deuxième partie tout en étant interviewés. Seulement moi et la demoiselle en couple avions le droit d'avoir cet entretien. Les questions terminées, le cameraman nous demande de faire une troisième partie, mais cette fois en jouant comme si de rien n'était. Pour les curieux France 2 a diffusé son reportage le dimanche 2 novembre à 13h. Mon entretien n'est pas visible, car je donnais une image positive de jeu vidéo. La journaliste cherchait plutôt des accros, mais on me voit rire avec la nana pendant les cinq dernières secondes du reportage. Après cela j'ai pu manger et jouer à Mario Kart 8. Malheureusement on à le droit qu'a une seule course et en deux tours. De plus l'animateur m'a laissé le Gamepad sans savoir qu'il était en mode volant. Tout allait bien jusqu'au premier virage. J'attendais ce Mario Kart comme tout les Mario Kart, mais j'ai hâte, très hâte. Graphiquement c'est superbe et les effets des boosts sont jolis à voir, ça fait du bien de voir un Mario Kart en HD. Je quitte enfin le parc Nintendo pour me diriger vers ce qui a suscité le plus d'intérêt dans cette édition du PGW, la Xbox One et la PlayStation 4. Le monde rendait la marche pénible surtout que Call of Duty Ghosts présentait aussi son armée de groupies. Bref j'ai quand même pu mettre mes mains sur un pad One et jouer à ForzaMotosport 5. L'écran minuscule ne faisait surement pas honneur au jeu. D'ailleurs la quasi-totalité des jeux Xbox One avait le droit aux mêmes caprices. Bref les effets étaient quand même de très bonne qualité. Je regrette également que le circuit choisi pour la démo soit si pauvre au niveau du décor. Un désert est toujours moins impressionnant à voir derrière le pare-brise qu'une mégalopole. A part ça je ne suis pas fan du genre et ça s'est senti. Ma prestation fut pitoyable. Cependant le pad One est très confortable, mieux que celui de la 360. Surtout pour la vibration des gâchettes qui donne une impression assez impressionnante. En quittant la borne je n'ai pas voulu tenter l'immense fil d'attente pour les autres jeux des secteurs, mais je voulais quand même jouer à la PlayStation 4. C'est alors que je trouve le coin des jeux indépendants pour la machine de Sony. Sans surprise il y avait peu de monde de ce côté et j'ai pu ainsi essayer Contrast facilement. Le Dualshock 4 est bien plus agréable que le pad PS3. Je parle surtout des joysticks qui épousent mieux le pouce et les gâchettes ressemblent enfin à ce qu'elles doivent être. Mais on est loin du pad 360. Gros point faible les boutons Start/Select qui sont chiants à utiliser. Soit on clique sur le pavé tactile soit on appuie dans le vide. Pour revenir au jeu, j'adore. Ce n'est sans doute pas nouveau, évoluer dans ce monde en 3D et 2D via les ombres est vraiment sympa. Contrast est très beau, reste à voir ce qu'il donne sur PS3, un jeu que je note dans mes attentes. De cette première journée je n'ai rien testé d'autre, sachant que je ferais ce que je n'ai pas fait le lendemain. Samedi 2 novembre, après un petit tour en taxi, j'arrive devant les portes du salon à 9h, toujours côté presse. En attendant mes deux collègues je me suis précipité sur Ryse : Son of Rome, il n'y avait pas encore trop de monde, j'en profite. J'entre dans le Panthéon quand un animateur de Microsoft me dit qu'avec mon badge (de GamerObs) je ne suis pas obligé de faire la queue. Le temps s'arrête. Je reprends mes esprits et lui demande, ça marche partout. Oui me dit il, suffit d'interpeller le staff d'un stand et hop. Et hop alors, bon ben jouons d'abord et vérifions ça après. Ryse, un jeu que je surveille tout en étant assez sceptique. La démo proposait le mode arène, mais ce n'est pas grave. Quelle claque, le jeu est beau et les animations sont top. J'ai passé un bon moment à charcuter mes adversaires. Coup de bouclier, coup de glaive et je t'arrache un bras avant de te planter mon arme dans le thorax. J'en veux plus de ce jeu, c'est certain. Je quitte Rome et je regarde mon badge, ai-je vraiment ce pouvoir, de passer devant tout le monde ? Le temps que je réfléchisse je me retrouve devant Killer Instinct. Je joue contre un mec du staff. Idem que Forza, les jeux de combats ne sont absolument pas ma tasse de thé et surtout que le mec ne m'explique rien, je me fais anéantir et cela en trois manches. Bref, il est temps de retrouver Thieft et Drakyng. Je l'es attends au stand Harribo quand soudain je me fais agresser par un gamin d'une douzaine d'année. Il a perdu sa mère. Je le laisse utiliser mon téléphone mais en vain il n'a jamais eu de réponse. Je retrouve au même moment mes collègues, abandonnant ainsi le jeune garçon. Nous le laissons seul oui, mais à côté du stand de bonbons, je me dis au moins il aura une mort heureuse. Tous les trois nous partons à la conquête du salon, armés de notre badge magique. Nous avons commencé à l'utiliser sur le parc PlayStation 4 avec sa queue de 2 ou 3 heures. La jolie demoiselle du staff nous fait l'honneur de nous faire passer fièrement devant tout le monde. De plus les animateurs à l'intérieur ne manquent pas de nous trouver des consoles libres. Ha quelle joie ! Et c'est parti pour Knack. Le jeu est joli sans être bluffant, la partie fut très sympathique, mais le jeu ne me marquera pas plus que cela. Nous sommes passés sur War Thunder. Le jeu n'est pas du tout mon genre et la démo pas très inspirante, sauf peut être les crashs dans les villages. Après avoir détruit les maisons depuis le ciel, nous allons les détruire de l'intérieur dans Killzone : Shadow Fall. Je n'ai jamais joué aux autres Killzone, mais j'ai trouvé celui-ci plus beau à voir sur le décors, les effets. Une démo bien sympathique. J'ai appris avec ce jeu que les méchants de Killzone n'ont pas de sang, mais de la peinture, de la gouache sûrement, qui coule dans leurs veines. Dernier jeu testé dans ce parc, Assassin's Creed IV : Black Flag. Il est à peine plus joli que la version current-gen. Plus net en tout cas, les décors, les mers sont sublimes à voir. Ce qui l'était encore plus, c'est un Edward catcheur, pas besoin de lame ou de pistolet, seul ses poings suffisent à massacre un fort. C'était particulièrement effrayant. Ensuite nous sommes allés voir les jeux Xbox One, j'ai retouché à Ryse, tant qu'à faire. Notre badge magique nous à permis de nous installer directement au premier rang pour la présentation de Dead Rising 3. Très surpris ; le jeu est très beau et semble bien bien meilleurs que les deux opus précédents. Il n'y a plus de contraintes de temps, on craft où on veut et on peut récupérer nos armes et le jeu est encore plus n'importe quoi qu'avant. La démonstration m'a donné envie de retenter l'aventure Dead Rising. Suite à ça nous avons tenté de passer la queue pour voir Watch_Dogs, hélas non, nous n'avons pu. Donc c'est après près d'une heure d'attente que nous entrons dans le box lumineux, frais et qui sentait la violette, et que nous avons pu voir encore une fois un mec et même deux jouer devant nous. Ceux qui ont suivi les vidéos de présentation lancées par UbiSoft : on n'apprend rien de plus. Tout de même le jeu a l'air magnifique j'ai hâte de jouer à ce fils légitime d'Assassin's Creed et de Far Cry. Il me semble que ce fut le dernier jeu de notre journée. La nuit commence à tomber sur la capitale et après un café, nous sommes repartis séparément d'où on venait.
Tout commença le matin du Samedi 2 novembre, lorsque mon réveil sonna sur un fond de Daft Punk, m’entraînant dans une danse du réveil dont moi seul ai le secret. Après quelques minutes d'adaptation, mon cerveau comprit que c'était le jour J, celui de notre visite exceptionnelle et tant attendue à la PARIS GAMES WEEK 2013 ! Après une heure de train en compagnie de notre cher rédacteur en chef, nous arrivons à Paris, la ville de tous les plaisirs, ou pas. Entre les immeubles et la charmante cohue parisienne, nous trouvons le métro : c'est parti pour 45 minutes intensives de transports en commun. Cette épreuve finie, nous partons d'un pas déterminé vers le salon, porte de Versailles...
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